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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Le 5ème plan de sauvetage de l’euro est toujours aussi bancal

03/11/2011 11:11

Le 5ème plan de sauvetage de l’euro est toujours aussi bancal


Georges Papandréou a bien gâché le G20 de Nicolas Sarkozy. Jeudi dernier, il nous avait vendu le plan signé le matin comme nous ayant préservé d’un cataclysme économique. Pourtant, on constate que comme d’habitude, ce plan ne règle, que la Grèce reste ou non dans l’euro.

Pourquoi les marchés l’ont aussi bien accueilli ?

 


En effet, le moins que l’on puisse dire, c’est que les marchés financiers ont beaucoup apprécié ce 5ème plan de sauvetage de l’euro. Le CAC 40, qui était tombé sous les 2700 points en septembre, a dépassé les 3300 points jeudi, soit une progression de plus de 20% en à peine plus d’un mois, avant de retomber avec le référendum grec. Mais il faut tempérer ce jugement par le fait qu’il était à 4000 points au 1er juillet. Il n’a fait que rattraper la moitié du terrain perdu depuis quatre mois.
Malgré tout, il est un peu surréaliste de voir les marchés célébrer le fait que les banques vont abandonner la moitié de leurs créances sur la Grèce. Pourtant, cela n’est pas illogique. Tout d’abord, il faut savoir que la dette grecque s’échangeait entre 40 et 50% de sa valeur. Les dirigeants européens n’ont fait qu’entériner le cours des marchés. Et cette restructuration diminuait l’incertitude : mieux vaut abandonner 50% d’une créance contre une relative certitude que l’on sera payé.
Avant ce plan et à nouveau depuis la décision de lundi, les créanciers d’Athènes peuvent craindre de perdre l’ensemble de leurs créances tant il est évident que la Grèce ne peut pas les honorer. Le plan de la semaine dernière semblait repousser une issue à l’argentine jusqu’à la décision de Georges Papandréou. Aujourd’hui, on peut se demander si le premier ministre grec ne souhaite pas lui-même revenir sur une politique détestable pour rester dans la monnaie unique.

Rien n’est résolu

 


Pire, un autre foyer fait rage, indépendant de la décision d’Athènes, comme le démontre la courbe des taux à dix ans de l’Italie, qui a repassé le cap des 6%, malgré le rachat de cent milliards d’obligations par la BCE depuis trois mois (dont une part est consacrée à l’Espagne). Les taux italiens sont revenus au niveau qui avait déclenché la panique de cet été, ce qui pose la question de la capacité de l’Italie à financer elle-même sa dette de 1900 milliards d’euros.
En outre, l’augmentation des moyens du FESF reste une promesse totalement vaine pour l’instant et qui ne repose que sur du vent, d’autant plus que l’Allemagne a affirmé mercredi qu’elle ne donnerait pas un euro de garantie supplémentaire. Bref, la seule solution est que la BCE rachète la dette italienne de manière illimitée. Mais il semble impensable que l’Allemagne, le décisionnaire final, accepte longtemps une telle aide sans broncher, et donc la situation est totalement incontrôlable.
D’ailleurs, la plupart des éditorialistes, tout bords confondus, ont bien compris que ce 5ème plan n’est qu’une rustine de plus. Le Point a fait un papier cruel en soulignant toutes les limites. Hervé Nathan, sur son blog, a fait un très bon papier, comparant les dirigeants européens à des shadoks qui creusent des trous. Vous trouverez également ici le débat de France 24 auquel j’ai participé mardi et qui démontre le désarroi les partisans de la monnaie unique.
Bref, rien n’a été réglé la semaine dernière. Une 5ème rustine a été mise en place comme le montre la nouvelle crise ouverte par le référendum grec. Pire, même si les Grecs disaient « oui », d’autres foyers de crise ingérable subsistent : l’Italie ou le Portugal...
Laurent Pinsolle





NDA en déplacement en Moselle le 5 novembre

03/11/2011 10:56

NDA en déplacement en Moselle le 5 novembre


Nicolas Dupont-Aignan se rendra en Moselle le 5 novembre prochain.

Il en profitera pour rencontrer les adhérents et sympathisants du département.






Référendum en Grèce : fin de partie !

03/11/2011 10:38

Référendum en Grèce : fin de partie !


Depuis des mois, le peuple grec est dans la rue contre l’insupportable austérité de longue durée qu’on voudrait lui imposer. La majorité parlementaire socialiste (sic) s’effrite.

La décision de faire appel au référendum est la seule porte de sortie qu’il reste au premier ministre. Cette décision est logique et démocratique. Elle pourrait certes permettre à l’actuelle majorité parlementaire d’éviter d’être balayée par un nouveau scrutin législatif. Mais aucune majorité politique ne peut de toute façon continuer à tenir le cap de la méga-austérité imposée par la logique folle de l’Union Européenne et de l’Euro comme monnaie unique.

Consternation ! Incompréhension ! Affolement ! Les dirigeants européens, Sarkozy et Merkel en tête, sont évidemment à l’unisson des banques et des institutions financières. Comment oser demander l’avis du peuple grec sur le sort qu’on lui impose !

Il est vrai que l’économie grecque est une sorte d’intermédiaire entre les économies de l’Europe de l’Ouest et les économies du Proche-Orient. Mais c’est bien au peuple grec de décider comment il veut vivre et, si il veut moderniser son économie, d’en décider les modalités et les rythmes.

On a beaucoup daubé sur la Grèce, sur sa fiscalité minimale, sur la corruption généralisée et la pratique systématique des baksheeshs qui la minent. Mais les docteurs Folamour de Bruxelles n’auraient-ils pas du s’interroger au préalable sur son intégration dans la zone Euro ? Mais rien n’était trop beau et trop grand pour le rêve, devenu cauchemar, de l’Euro comme monnaie de fer servant essentiellement les intérêts de l’économie allemande et des pays de l’Europe du Nord, et surtout ceux de la finance européenne mondialisée et des grands groupes investissant en dehors de l’Europe.

En Juillet 2011, on nous annonçait déjà triomphalement que le problème grec était réglé, et les mêmes sirènes viennent de retentir il y a trois jours à peine. Mais rien n’y fera. La vérité est que tous les plans de sauvetage, aux montants babyloniens, aujourd’hui pour la Grèce, demain pour le sud de l’Europe, ne viennent que remplir un tonneau des danaïdes. Les économies de la Grèce, de l’Espagne, du Portugal, de l’Italie, de la France sont asséchées par la logique mondialiste : produire à bas coût dans les pays émergents pour revendre ici au prix fort. Cette logique, que Francis Blanche en son temps eut qualifiée de kolossale finesse, n’a omis qu’un détail : en détruisant le tissu industriel européen, en comprimant partout les salaires, en systématisant le chômage de masse, on a tué la poule aux œufs d’or. Pendant vingt ans on a fait illusion pour maintenir le niveau de vie : pompage de la protection sociale en France, dopage à l’immobilier en Espagne...

Mais nous sommes en fin de partie : les caisses des Etats se vident, comme celle des banques qui ne peuvent plus maintenir des économies en état de respiration artificielle. Les Etats peuvent renflouer les banques, mais qui renflouera les Etats ? Il n’ ya plus que deux solutions : soit l’austérité drastique à la grecque pour tout le monde, soit changer de cap.

Ce qu’il faut, c’est en revenir aux souverainetés monétaires au sein de la zone Euro, et relocaliser par de nouvelles règles d’importation aux frontières de l’Europe, négociées avec les pays émergents sans les précipiter à nouveau dans la spirale de la misère. Il faut un nouveau new deal à l’échelle mondiale. On nous dit : la France ne peut pas faire cavalier seul ! Mais si elle défendait avec vigueur cette perspective, toute la donne politique en serait bouleversée.

Voyez nos gourous de l’économie, voyez nos éditorialistes, voyez nos dirigeants, le candidat socialiste, François Hollande et le proto-candidat président, Nicolas Sarkozy : tous sont incapables de ce changement de cap nécessaire, tous accrochés à la logique de la “rigueur” au lieu de penser l’avenir.

Rassembler les Français, changer de logique : c’est possible et c’est maintenant.

François Morvan, Vice-président de DLR

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Dupont-Aignan devant le peuple en Grèce par dlrtv

http://www.debout-la-republique.fr/Referendum-en-Grece-fin-de-partie.html

 







Les derniers passages médias de NDA

03/11/2011 10:30

Les derniers passages médias de NDA


Avec la crise de la zone euro, les médias se tournent enfin vers ceux qui avaient prévu les périodes sombres que traverse notre continent. Nicolas Dupont-Aignan a été un des premiers à alerter les Français. Aujourd’hui les médias offrent enfin aux idées qu’il incarne la place qu’elles méritent.

Vous pouvez retrouver ci-dessous les derniers passages de Nicolas Dupont-Aignan dans les médias. Il donne son analyse des dernières décisions prises par Nicolas Sarkozy et les instances européennes.

Mais surtout il montre que d’autres solutions sont possibles. Avoir anticipé la crise actuelle permet à notre mouvement d’avoir, aujourd’hui, une longueur d’avance. Nous avions prévu la crise actuelle et nous avons donc réfléchi depuis longtemps aux solutions.

Dans ces interviews, Nicolas Dupont-Aignan évoque nos solutions pour une sortie de crise par le haut.

Nicolas Dupont-Aignan invité du 12/13h de FR3 par dlrtv

Nicolas Dupont-Aignan invité de Bourdin sur BFM... par dlrtv

Dupont-Aignan dénonce l’argent sale de la Chine par dlrtv

Reportage de Dimanche+ sur le protectionnisme par dlrtv

Nicolas Dupont-Aignan invité du Talk Orange /... par dlrtv

http://www.debout-la-republique.fr/Les-derniers-passages-medias-de.html

 






NDA en déplacement dans la Marne le 4 novembre

02/11/2011 12:05

NDA en déplacement dans la Marne le 4 novembre


Nicolas Dupont-Aignan sera en déplacement dans la Marne le 4 novembre prochain.

Il en profitera pour rencontrer les adhérents et sympathisants du département.






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